Il y avait déjà une personne amochée par l'évènement. Tu craignais le pire pour celui-ci. Tu le connaissais d'ailleurs. Es-ce que le fait de savoir qu'il était dans l'établissement scolaire où tu travaillais te rendait plus responsable de lui que sur les autres ? Vraisemblablement, non. Pourtant, comme tu le connaissais depuis plus longtemps que les autres tu ne pouvais pas le laisser ainsi. Tu n'aurais pu laisser personne ainsi. Mais là tu chippiotais sur des détails, sur des hypothèses dont tu n'étais pas sûr.e D'après ce policier, les morsures étaient fatales. Ce n'était donc pas un virus venu des airs mais contenu dans la salive et peut-être même dans le sang. Il suffisait à Fuyuki de se frotter trop proche du sol, d'un endroit où aurait pu baver un zombi pour pouvoir être contaminé. Cela augmentait ces chances de mourir. Ce n'était qu'une hypothèse, tu te le répétais mais tu préférais ne pas lui faire prendre trop de risque. Après avoir finis d'exposer tes idées sur la façon d'agir de ces êtres inhumais, tu t'avanças vers lui avec ton sac que tu ouvris.
«Bouges pas.»
Tu sortis du désinfectant, et un bandage neuf. Tu les lui mis dans les mains tandis que tu commenças à dénouer le premier bout de tissus collé au sang frais. S'il laissait un truc aussi moche, ça s'infecterait. Ils avaient tous bien d'autres choses à faire que de s'occuper d'une infection. Ce qui pouvait être très dangereux après un certain laps de temps.
«Par mesure de sécurité. »
Tu découvris une belle plaie. Tu plongeas ta main dans ton sac, sortit du coton. Y avait que le minimum, après quoi , il aurait fallu du fils et une aiguille. Tu lui pris le flacon de désinfectant des mains. Un vaporisateur. Tu appuyas dessus pour que le liquide se melange à l'hémoglobine. Inutile de prevenir que ça picotait, il avait passé l'âge et ne sentirait pas grand chose certainement. Tu passas doucement le coton dessus pour retirer le plus gros mais la plaie etant encore ouverte , le sang coula de nouveau. Dans le sac se trouvait des compresses. Tu en pris, déchiras le papier avec tes dent et avant de la poser, essuyas de nouveau la plaie avec le coton. Tu entouras le tout avec le bandage.
«J'espère que c'était la plus grosse plaie. Comment tu t'es fais ça ? »
Avec le chaos, c'était totalement possible de se faire ce genre de blessure. En sautant, attérissant sur on ne savait quoi. Mais tout de même, il allait devoir faire plus attention. Les autres blessures étaient beaucoup moins importante.s Tu les désinfectas troutes mais n'appliquas pas de compresse sur deux d'entre elles. Il fallait les économiser.
Tu pris ce qui n'était plus utilisable et t'avança vers une poubelle. Même si tout était en vrac, ce geste automatique te permettait de garder légèrement de la stabilité mentale. C'était un geste du quotidiens qui te rapella ces élèves. Qu'allaient ils devenir ? Y avait il un moyens de sauver du monde ? Même au perils de ta vie. Ta stupidité permettait ton courage.
Tel un groupe fidèle et lier comme les cinqs doigts de la main, tout le monde suivit le flics. Il avait de la logique et semblait connaître la ville comme sa poche. De plus, il était le seul à avoir de quoi communiquer avec les autres tandis que les téléphones ne souhaitaient plus marcher.
SURPRISE.
Une attaque. Il fallait s'y attendre, il n'y aurair que cela tout au longs des jours à venir. Mais tu n'avais pas d'armes. Tu ne pouvais te soucier des autres , tu n'avais déjà pas d'armes, et tu étais encerclée avec une autre. On te tendit un club de golf qui tomba lorsque tu voulus le prendre suite à un zombie désespéré voulant faire de ton bras sa victime. Tu rangeas bien vite ton membre et utilisas ton poing pour frapper durement sur son abdomen. Pas sur qu'il ressente encore la douleur mais cela lui provoqua un mouvement de recul , le temps de te pencher pour attraper l'objet.
«EFFECTIVEMENT.»
Tu n'avais jamais tué personne. Même pas un mort. Le fait de le savoir mort allait il alléger ta conscience ? Dans tout les cas ta conscience elle pouvait aller voir ailleurs. Tu la serras dans tes deux mains et laissas ce corps accourir de nouveau en ta direction, tu frappas au plus fort au niveau de la tête.Il tomba raide. Etait vraiment mort ? Tu frappas un second arrivé surprise. Tu t'avanças vers l'un. Ce que tu allais faire ne t'enchantais pas mais tu préférais être prudente alors tu tappas violemment avec le bout de la barre dans son crane jusqu'à ce que celle-ci soit transpercée. Traverser une boite craniène c'était vachement physique...Et comme tu ne possédais aucune force dans les bras, il était urgent que tu trouves une arme à feux. Tu essuiyas le revers de l'arme sur ton haut et continuas le chemin, comme tout le monde.
Tu ne les regardes plus. Tu ne les écoutes plus. Tu restes sur tes gardes mais en étant dans ta bulle. Il est vrai que ta relation avec Parma n'était pas établie mais le savoir de ce mauvais côté te serrait légèrement le coeur. Ou pour ne pas mentir, te donnait l'envie de foncer la bas pour vérifier l'état de la situation. Ta famille était loin d'ici, rien à craindre. Mais pourquoi maintenant ? Maintenant que tu établissais de bon liens. Cette cause te fis monter une haine, une rage, une tristesse sans fin dans les veines.
Lorsque vous fûmes dehors, tu observas une jeune femme et son enfant courir de façon despéré loin devant. Toi qui voulais secourir les gens, à quoi bon si ceux ci ne réagissaient que de la même façon qu'un bétails perdu dans la folie. Tu tournas sur toi même, écoutant les coup de feux. Regardant ciel clair, le sol encore propre, les trottoirs n'étaient pas recouvers de cadavres, en fait, les lieux te semblaient vachement calmes. Où étaient ils tous parties? Certainement pas loins vu leur lenteur... Les enfers étaient enfin venu sur terre. Ton regard tomba sur une personne qui sourait à Fuyuki de façon étrange. Sadiquement. Tu n'aimais pas cela. Quelqu'un pouvait il t'expliquer en quoi cette situation avait quelque chose d'attrayante ? Son sourire ne cherchait même pas à offrir du réconfort. Il s'amusait de la destruction de son propre monde. Ton jugement sur sa personne se modifia. Son estime baissa. C'était un détraqué camouflé doublé certainement d'imbécilité. Etait ce une de ces personnes qui passent leur temps dans ces mondes de manga et prennent comme idoles les sadiques des séries confondant réel et fictif ? Ou tout simplement était il réellement atteint ?
Tu dois prendre en compte la proposition du flic évidemment. Mais tout le monde ne peut pas aller au même endroit. Pour ta part, il te semblait important de passer à l'hopital afin de prendre de quoi survivre.
«Je ne viens pas. Je pense passer à l'hopital.Il serait préférable que nous puissions garder contacte afin de pouvoir se regrouper et de se tenir informé des autres quartiers de la ville. Peut-être qu'une partie résiste et qu'il est possible d'y être en sécurité. Bon comme l'incident à été produit il y a quelques heures, je suppose qu'effectivement il n'y a pas encore de groupe. Dans ce cas là , à nous d'essayer. Si on a pas de quoi se joindre, on se rejoint tous au commissaria ? »
Tu ne proposais pas l'hopital car tu savais que contrairement à là bas, l'endroit seraient infecté et bien plus dangereux. Tu te tournas vers ce type bizarre qui proposait l'idée du sang frais.
«Non, c'est une mauvaise idée. Le virus est en eux, si tu t'en badigeonnes, je ne garentis pas que tu ne sois pas infecté par la suite. Je suis sure par contre que cela se trouve dans leur salive mais pourquoi pas dans le sang ? Evité de se faire mordre est une chose , si vous êtes blessé soignez vous le plus vites possible également. Ne prenons pas de risque inutiles. Puis leur sang ne cachera pas notre odeur.»
Tu te tournes vers Fuyuki.
«Recous ta plaie si tu vas avec eux. »
Tu doutais franchement que quelqu'un vienne avec toi. Mais il fallait y aller. Tu coupas ton portable. Il ne t'était d'aucune utilité, il fallait bien l'admettre, tu le jetas dans la rue. Pas la peine de s'encombrer non plus. Maintenant le problème était de trouver un moyen de transport pour y aller. Tu regardas derrière toi. Il y avait encore des voitures allumés en pleins milieu de la route. C'était largement suffisant.
D'un pas rapide tu t'avanças vers un 4x4 en route. La porte était ouverte, le coffre à découvert permettait de prendre les survivants trouvés sur la route. Rien à l'intérieur après avoir ouvert les autres portes. Tu coupas le contacte et pris les clés. Tu avais plus l'habitude de conduire les motos mais avait tout de même ton permis, grace à tes parents qui avaient insistés.
Ton regard se posa sur ces immeubles. Il devait y avoir un paquet de monde encore sauvé dedans. A espérér qu'il remarque le désastre par leurs fenetres et ne sortes pas.
«Je ne vous propose pas de venir , je sais que là-bas il y aura certainement un gros carnage, pourquoi pas plus puisque les malades seront surmement les plus faciles d'accès. Si tout de fois quelques uns veulent tout de même venir, le 4x4 est ouvert. Je vous rejoins sous peu. »
Il te fallait une arme à feu. C'était une question de vie ou de mort. Tu savais que tout les passants n'en avaient pas en leur possession et que les flics n'étaient pas à tous les coins de rues...Bien sur que si ! Il devait y avoir des flics mort dans le coin puisque les patrouille ont dû accourir ici en apprenant l'incident. Il y aurait donc d'autre talki walki ou truc qu'il avait en main.
Tu t'en allas armée de ton club de golf vers l'inconnu. Tu avanças dans la rue prudemment. C'était peut-être pas une bonne idée, ça devait être bondé de zombi. Par chance tu n'eus pas à faire trop de trajet pour en tomber sur un...Debout. Tu lui donnas un violent coup au visage. Ce n'était pas un flic à première vu mais un vigile.Tu pris son moyen de communication et le fouilla rapidement. Aucune arme. Tu détalas rapidement. Le bruit aurait pu en attirer d'autre. Ils devaient être proches. Il ne fallait pas trainer.Tu te tournas vers ceux qui comptaient partir vers le centre de police.
«Faites attention.»
Tu te dirigeas vers Léon. Comme tu ne travaillais pas avec ce genre d'objet, tu n'avais absoluement aucune idée de comment fonctionnait l'appareil. Ca ne servait à rien de perdre du temps inutilement, il était plus juste de demandé à cet homme. Tu lui tendis l'appareil.
«Pourrais tu me montrer comment cela fonctionne ?»
Tu redoutais moins le fais de te faire mordre que de te retrouver seule dans ce monde d'alien. Après son aide, tu remontas dans le 4x4 et mis la voiture en marche. Il ne fallait pas qu'il leur arrive quelque chose. Eux tu les savais bel et bien en vie et ils devaient re venenir ainsi. Tu soupiras longuement avant de cramponner tes mains sur le volant en regardant ce que tu avais pris sur le vigile. Maintenant que tu savais comment comment il fonctionnait, plus qu'à voir s'il fonctionnait. Tu mis le club de golf sur les sièges arrières avant de tenter la communication.
«On me reçoit ? »
A espérer. Sinon tant pis. Il te fallait arriver les retrouver avant la tomber de la nuit. Peut-être que le pire était à prévoir...
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Jeu 31 Juil - 16:47
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L'histoire comme un matin après que quelques participants gagnent un tour en Hélicoptère dans toute l'île. Après cette charmante petite balade qui avait pris 45 minutes tout le monde descendirent de l'hélicoptère pour rentrer chez eux, malheureusement à ce moment-là un avion s'écrasa un peu plus loin, des personnes attaquèrent d'autres et les transforment en zombies, un policier au nom de Léon S. Kennedy qui se trouvait dans l'hélicoptère pris avec lui un petit groupe de survivant essayant avec beaucoup de mal à rester en vie. Ils trouvèrent un bus pour sortir de l'aéroport après avoir entendu dire que beaucoup d'avions, c'étaient écrasés dans toute l'île fessant beaucoup de morts, malgré tout, ils se dirigèrent vers le lycée où ils ont rencontré d'autres personnes qui resta avec eux. Maintenant, ils se dirigent vers le commissariat pour trouver des armes pour se défendre et trouver d'autres personnes à sauver, ainsi que trouver les personnes chères au survivant qui avaient suivi Léon. Que vont-ils découvrir une fois arrivé en ville ?
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Jeu 31 Juil - 20:22
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Une arme qui tire laissant partir les balles une après une tout en écoutant les cris des monstres qui sont devant elle, de quoi de plus normal quand on tue des zombis… Il est vrai qu’elle ne s’attendait pas à avoir ce genre de scénario et cela ne fessait pas même pas un trois semaines qu’elle avait repris du service tous ceci commençait bien pour la brunette. Le temps était si calme au début de la journée, la jeune femme avait été un peu en retard pour sa troisième semaines de travaille à croire que pendant deux semaines elle avait que de la circulation à faire le temps qu’il lui trouve un partenaire, c’est ce que son chef lui avait dit dès le premier jour et dire qu’elle était venu ici pour faire une nouvelle vie et se retrouve déjà à vouloir faire sauter quelque cervelle…. Mais bon son père lui avait dit que c’était le seul endroit qui voulait d’elle après ce qui c’était passer dans Rancoon City au Etat-Unis, Kira n’avait pas vraiment le choix que devenir à Okina. Au bout de trois semaines il avait enfin trouver son coéquipier un homme un peu plus vieux qu’elle, mais bien sûr le jour où ils devaient se rencontrer il n’était pas là. Elle était un peu verte de rage qu’il ne soit pas venue et comme chaque matin son chef lui pris la tête pour son accoutrement est-ce de sa faute si elle se sentait à l’aise dedans ? Au moins elle mettais le coté flic et femme en même temps, elle commençais s’ennuyer à son bureau elle devait remplir et faire des rapports qu’elle avait eu la flemme de faire quelques jours plutôt, mais comment voulez-vous qu’elle se concentre dans son travail quand l’on voit une si belle journée qui avait commencé mal, mais une belle journée tout de même. Kira était plonger dans ses rapports quand deux de ses collègues avaient ramené un voleur qu’ils avaient pris sur le faite, cool pour eux disait-elle dans sa tête, puis quelques minutes plus tard on entendit un gros bruits comme une explosion qui fessait trembler le terre en même temps, la brunette ce leva de son siège pour voir ce qui se passait. Son chef sorti, alors de son bureau aboyant des ordres à tous les monde, il avait peur et elle n’allait pas tarder à savoir pourquoi.
Kirari et deux autre de ses collègues sont sorti pour voir ce qui se passaient tout en étant en voiture, ils arrivèrent avec d’autre là où se trouvais un avions il c’était cracher en plein centre-ville, touchant des magasins, le centre commercial ect… Elle ne s’attendait pas à voir un avion venir se cracher ici et pourquoi ? Elle n’eut pas le temps de poser cette question que plusieurs personnes viennent vers eux en courant et criant, il y aurait des mords normal que les gens paniquent, mais ce qu’elle ne s’attendait pas à voir c’est des mords qui se relèvent et qui attaquent d’autre personne en les bouffant, elle fut surprise de voir cela se produire ici.
- C’est pas vrai… Allons au central prévenir les autres.
Elle se rappelle des films qu’elle avait vu étant plus jeune ou même maintenant, elle pris son arme et tira sur quelques zombies visant bien la tête, elle entre dans la voiture après avoir tuer quelques uns pour laisser le temps à ses collègues de se mettre à l’abris dans leurs voitures et directions le central pour se mettre à l’abris. Comme cela ne suffisait pas il a fallut qu’un autre avion tombe du ciel pour se cracher autre part dans la ville, il y avaient peu de chance d’avoir des survivant et l’île allait avoir du mal à se reconstruire si un jour ils arrivaient à tuer tous les zombies, sur le chemin du retour, ils ont ce frayer un chemin pour aller au commissariat, car beaucoup de zombies c’étaient jeter sous les roues des voitures, Kira vit, alors une voiture de police se faire entourer par des zombies suite à la crevaison d’un pneu. Les zombies ont réussi à casser les vitres de la voiture ainsi que le par prise tuant ses collègues, elle détourna les yeux, car jamais elle n’avait jamais imaginé voir des horreurs pareilles hors que dans les films une fois arriver au central, elle ne pue entrer dans le bâtiments qui était déjà cerner par les zombies, ils allaient devoir faire attention à eux et surtout trouver un autre moyen pour passer sans se faire repérer, mais peine perdu ils avaient entendu la voiture et commencèrent alors à venir vers eux.
- Bon pas trente-six solutions il faut continuer à pieds l’un d’entre vous connaît un autre passage ?
Un de ses collègues lui répondu que oui et ils sont sortis de la voiture commençant à marcher vers la directions tout en tuant des zombis l’un après l’autre, Kira espérait pouvoir s’en sortir vivante, ils ont été rattraper par les zombies qui réagissait au bruits des coups de feux. Elle pris son couteau, car n’ayant plus beaucoup de balle, elle préférait pouvoir les garder au cas ou si elle devait être vraiment en danger.
- Évitez de gâcher toutes vos balles, le bruit les attire comme des abeilles avec le sucre. Trouver quelques choses d’autre pour les tuer, genre votre couteau ou bien quelques choses d’autre.
Elle continua avec eux son chemin fessant attention de ne pas se faire mordre, très vite elle fut recouverte de sang des zombies qu’elle devait tuer ou que ses collègues avaient tué pour éviter qu’ils ne meurent et redeviennent des monstres assoiffé de sang. Ils arrivèrent quelques minutes plus tard au moment ou ils devaient ouvrir le passage un de son collègue fut mordu, Kirari tua le zombie, mais malheureusement elle savait déjà qu’il était condamné.
- Je suis désolée… Tu es déjà mort, si on te laisse ainsi tu seras comme eux. Il te reste sûrement des balles dans ton chargeur je te conseille de te tirer une balle dans la tête.
Elle était vraiment désolée, mais ses paroles quelques soient rudes étaient vrais, il ne pouvait pas continuer ainsi surtout que dans là ils vont aller il y aura des personnes qui sont encore humain, décidément elle ne pouvait pas laisser une personnes tuer tous les autre. Elle entra dans le parking souterrain qui se trouvait à quelques minutes de là, il y avait une porte pour éviter d’ouvrir la grande porte et tous les agents avaient la clé, pour une fois elle va servir. Elle entra la clé dans la serrure puis elle entendit, alors un coup de feux sûrement son collègue qui était avec elle c’était donné la mort. Elle entra dans le parking ainsi que l’autre personne qui était avec elle refermant bien la porte pour éviter qu’elle s’ouvre, puis monta les étages jusqu'à se qu’elle arrive dans les bureau. Un soupir de soulagement se fit entendre, ils n’étaient pas les seul à être encore envie. Elle alla à son bureau tous les monde la regarda bizarrement, à croire qu’ils pensaient qu’elle ne s’en sortira pas vivante, quelques coups de feux se fit entendre sûrement de ses collègues qui tuaient les Zombies pour qu’ils évitent d’être trop nombreux sur les portes, même s’ils avaient commencer à barricader celles. Combien de temps ils allaient tenir, elle entendait aussi les cris des victimes qu’on ne pouvait pas sauver. Elle alla prendre une douche dans les vestiaires des filles lavant en mettant son uniforme et le remit une fois qu’il était propre et sec heureusement pour eux, le commissariat avait des machines à laver les vêtements et à les faire sécher, puis elle retourna à voir son chef.
- Monsieur, on fait quoi ? On attend que les autres reviennent ?
Ils n’étaient pas seul une femme était avec elle Erica, un peu plus jeune qu’elle qui semblai être très inquiète elle se demanda pourquoi.
- Je pense que peu d’entre eux sont encore en vie.
Le chef venait de parler et Erica semblait penser le contraire, car elle notait quelque chose sur son biper ou portable, Kira alla la voir pour voir comment elle se sentait d’après ce qu’elle avait vu elle aussi semblait un peu sous le choque, elle pue alors lire le message qu’elle avait envoyer.
« …. ta permission exceptionnel est terminé il faut que tu revienne au commissariat au plus vite, une armée de mort vivant attaque un peu partout en ville c'est la panique total, reviens au plus vite le commissariat se fait assiégé, nous avons perdu déjà quelques collègues, nous avons fortifié le rez de chaussé, tu n'aura qu'a passé par le parking souterrain pour accéder a l'ascenseur. »
Elle n’avait pas vu le nom de la personne, mais bon elle espérait qu’Erica ne se trompait pas et qu’il était encore en vie. Elle se poster derrière une des barricade et commença à tirer sur les Zombies qui étaient devant la porte… Quelle journée magnifique qui tombe dans le cauchemar.
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Dim 17 Mai - 10:57
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I. LE PERSONNAGE.
• NOM : • PRÉNOM : • GENRE : • ÂGE : • RACE : • CLASSE & MÉTIER : • MAGIE OU TECHNOLOGIE : • STATUT MARITAL : • SITUATION FINANCIÈRE : • ORIENTATION SEXUELLE : • AVATAR :
II. LES DESCRIPTIONS.
MORALE
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PHYSIQUE
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III. L'HISTOIRE.
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IV. DERRIÈRE L'ECRAN.
TON PSEUDO ? QUEL ÂGE ? COMMENT TU ES VENU ICI ? TES IMPRESSIONS ? TU CONNAIS LE CODE ?
« Bonjour ! Je m'appelle Prénom Nom et l'on me surnomme Surnom. Je suis né le Date de naissance à Lieu de naissance, ce qui me fait Âge ans. Je suis un Homme/Femme. Je suis Hétéro/Homo/Bisexuel et actuellement Célibataire/En couple/Fiancé/Marié. Mon principal défaut est Défaut et ma qualité majeure est Qualité. »
Taille :Renseigner Poids :Renseigner Groupe :Groupe du personnage Métier :Faut bien gagner sa vie Ambition :Renseigner
crédits
Physique
Maior pars mortalium, Pauline, de naturae malignitate conqueritur, quod in exiguum aeui gignimur, quod haec tam uelociter, tam rapide dati nobis temporis spatia decurrant, adeo ut exceptis admodum paucis ceteros in ipso uitae apparatu uita destituat. Nec huic publico, ut opinantur, malo turba tantum et imprudens uulgus ingemuit; clarorum quoque uirorum hic affectus querellas euocauit. Inde illa maximi medicorum exclamatio est: "uitam breuem esse, longam artem". Inde Aristotelis cum rerum natura exigentis minime conueniens sapienti uiro lis: "aetatis illam animalibus tantum indulsisse, ut quina aut dena saecula educerent, homini in tam multa ac magna genito tanto citeriorem terminum stare." Non exiguum temporis habemus, sed multum perdidimus. Satis longa uita et in maximarum rerum consummationem large data est, si tota bene collocaretur; sed ubi per luxum ac neglegentiam diffluit, ubi nulli bonae rei impenditur, ultima demum necessitate cogente, quam ire non intelleximus transisse sentimus. Ita est: non accipimus breuem uitam sed fecimus, nec inopes eius sed prodigi sumus. Sicut amplae et regiae opes, ubi ad malum dominum peruenerunt, momento dissipantur, at quamuis modicae, si bono custodi traditae sunt, usu crescunt: ita aetas nostra bene disponenti multum patet. Quid de rerum natura querimur? Illa se benigne gessit: uita, si uti scias, longa est.
Caractère
Maior pars mortalium, Pauline, de naturae malignitate conqueritur, quod in exiguum aeui gignimur, quod haec tam uelociter, tam rapide dati nobis temporis spatia decurrant, adeo ut exceptis admodum paucis ceteros in ipso uitae apparatu uita destituat. Nec huic publico, ut opinantur, malo turba tantum et imprudens uulgus ingemuit; clarorum quoque uirorum hic affectus querellas euocauit. Inde illa maximi medicorum exclamatio est: "uitam breuem esse, longam artem". Inde Aristotelis cum rerum natura exigentis minime conueniens sapienti uiro lis: "aetatis illam animalibus tantum indulsisse, ut quina aut dena saecula educerent, homini in tam multa ac magna genito tanto citeriorem terminum stare." Non exiguum temporis habemus, sed multum perdidimus. Satis longa uita et in maximarum rerum consummationem large data est, si tota bene collocaretur; sed ubi per luxum ac neglegentiam diffluit, ubi nulli bonae rei impenditur, ultima demum necessitate cogente, quam ire non intelleximus transisse sentimus. Ita est: non accipimus breuem uitam sed fecimus, nec inopes eius sed prodigi sumus. Sicut amplae et regiae opes, ubi ad malum dominum peruenerunt, momento dissipantur, at quamuis modicae, si bono custodi traditae sunt, usu crescunt: ita aetas nostra bene disponenti multum patet. Quid de rerum natura querimur? Illa se benigne gessit: uita, si uti scias, longa est.
Histoire
Maior pars mortalium, Pauline, de naturae malignitate conqueritur, quod in exiguum aeui gignimur, quod haec tam uelociter, tam rapide dati nobis temporis spatia decurrant, adeo ut exceptis admodum paucis ceteros in ipso uitae apparatu uita destituat. Nec huic publico, ut opinantur, malo turba tantum et imprudens uulgus ingemuit; clarorum quoque uirorum hic affectus querellas euocauit. Inde illa maximi medicorum exclamatio est: "uitam breuem esse, longam artem". Inde Aristotelis cum rerum natura exigentis minime conueniens sapienti uiro lis: "aetatis illam animalibus tantum indulsisse, ut quina aut dena saecula educerent, homini in tam multa ac magna genito tanto citeriorem terminum stare." Non exiguum temporis habemus, sed multum perdidimus. Satis longa uita et in maximarum rerum consummationem large data est, si tota bene collocaretur; sed ubi per luxum ac neglegentiam diffluit, ubi nulli bonae rei impenditur, ultima demum necessitate cogente, quam ire non intelleximus transisse sentimus. Ita est: non accipimus breuem uitam sed fecimus, nec inopes eius sed prodigi sumus. Sicut amplae et regiae opes, ubi ad malum dominum peruenerunt, momento dissipantur, at quamuis modicae, si bono custodi traditae sunt, usu crescunt: ita aetas nostra bene disponenti multum patet. Quid de rerum natura querimur? Illa se benigne gessit: uita, si uti scias, longa est. At alium insatiabilis tenet auaritia; alium in superuacuis laboribus operosa sedulitas; alius uino madet, alius inertia torpet; alium defetigat ex alienis iudiciis suspensa semper ambitio, alium mercandi praeceps cupiditas circa omnis terras, omnia maria spe lucri ducit; quosdam torquet cupido militiae numquam non aut alienis periculis intentos aut suis anxios; sunt quos ingratus superiorum cultus uoluntaria seruitute consumat; multos aut affectatio alienae formae aut suae querella detinuit; plerosque nihil certum sequentis uaga et inconstans et sibi displicens leuitas per noua consilia iactauit; quibusdam nihil quo cursum derigant placet, sed marcentis oscitantisque fata deprendunt, adeo ut quod apud maximum poetarum more oraculi dictum est uerum esse non dubitem: Exigua pars est uitae qua uiuimus. Ceterum quidem omne spatium non uita sed tempus est.
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